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Manifestation contre la retraite à 64 ans le 23 Mars - Paris

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Manifestation contre la retraite à 64 ans


Manifestation contre la retraite à 64 ans




Réforme des retraites
Recul de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans d'ici 2030, durée de cotisation portée à 43 ans dès 2027, emploi des seniors, petites pensions, fin des régimes spéciaux ...
La loi portant réforme des retraites a été adopté suite à l'utilisation du 49.3,le jeudi 16 mars 2023. l . ?


Manifestation contre la retraite à 64 ans
La neuvième journée d'action contre la réforme des retraites n'a pas faibli au lendemain d'une intervention du président de la République qui a hérissé les opposants, les syndicats espérant « garder l'opinion » de leur côté.
Entre 1,089 million de manifestants (Intérieur) et 3,5 millions (CGT) ont défilé dans plus de 300 villes. A Paris, où la participation a atteint de nouveaux records, à la fois selon la CGT (800.000) et Beauvau (119.000), des violences ont rapidement éclaté en tête de cortège.
Cependant, à l'intérieur du rassemblement l'ambiance était beaucoup plus citoyenne et les manifestants ont encore rivalisé de créativité dans les messages inscrits sur les pancartes, où la référence à Emmanuel Macron était souvent présente.

la jeunesse amplifie sa mobilisation
Est-ce le début d’une plus large mobilisation ? Dans les cortèges, aujourd’hui, nombreux sont les observateurs à avoir constaté un rajeunissement des troupes. Les organisations étudiantes et lycéennes ont tenu leurs comptes, difficilement vérifiables : selon elles, 500 000 jeunes ont manifesté, dont 150 000 à Paris

Une journée de manifestation sous tension
A Paris, de nombreuses violences et des heurts avec les forces de l’ordre ont émaillé la manifestation − notamment Avenue de l’Opéra − qui s’est transformée en cortèges « sauvages » pendant une grande partie de la soirée.

D’après le dernier bilan de la préfecture, 103 personnes ont été interpellées dans la capitale. Vers 22 heures, 140 feux avaient été recensés à Paris, d’après le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, qui a dénoncé la violence de « casseurs » issus de « l’extrême gauche.



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